Bien sûr comme d’autres dans le corps préfectoral, la nouvelle préfète des Alpes de Haute-Provence est passée par Science-Po et l’ENA ; elle est au service de l’Etat depuis 12 ans. Mais Violaine Demaret n’oublie pas pour autant ses racines rurales notamment la classe unique d’un village des Hautes-Alpes qu’elle a fréquentée enfant pendant plusieurs années. Attachée à la ruralité et à la montagne, elle mesure sa chance d’arriver dans les Alpes de Haute-Provence à la suite d’Olivier Jacob parti lui, vers d’autres cieux moins méridionaux. Et la nouvelle venue affiche déjà une belle expérience même si c’est son premier poste en tant que préfète elle fut notamment trois fois secrétaire générale de préfecture avec charge de sous-préfète dont son affectation précédente à Lille, un terrain pas franchement rural où elle a pratiqué comme ailleurs les politiques de la ville.
Au gré de sa carrière, Violaine Demaret a servi en Isère, dans le Tarn et Garonne ou dans le Nord et aujourd’hui en Provence. Elle souhaite rencontrer élus et acteurs économiques au plus vite avant qu’une période de réserve n’arrive pour les élections sénatoriales. Enfin, femme de contact et « les pieds bien dans la glaise » entend aussi conduire un civisme sanitaire face au Covid et c’est masquée et à distance qu’elle nous a accordé sa première interview…
Au gré de sa carrière, Violaine Demaret a servi en Isère, dans le Tarn et Garonne ou dans le Nord et aujourd’hui en Provence. Elle souhaite rencontrer élus et acteurs économiques au plus vite avant qu’une période de réserve n’arrive pour les élections sénatoriales. Enfin, femme de contact et « les pieds bien dans la glaise » entend aussi conduire un civisme sanitaire face au Covid et c’est masquée et à distance qu’elle nous a accordé sa première interview…